Châteaux du Val de Loire
Depuis Romorantin, une multitude de châteaux s’offre à vous. : Blois, Chambord, Cheverny, Troussay, Chémery, Fougères sur Bièvre, Valençay, Villesavin, Château du Gué-Péan, Cité médiévale de Mennetou sur Cher, Château de Beauregard, Château de Blancafort, Château du Clos Lucé, Mini-châteaux Val de Loire, Château de Chaumont-sur-Loire, Château de la Ferté Imbault, Château d’Amboise….
Séjournez au centre Ethic Etapes Sologne Jean Monnet et profitez des richesses de la Sologne et du Centre Val de Loire.
Retrouvez toutes les informations des visites sur le site internet de l’Office de Tourisme de Romorantin.
Musée Espace Automobiles Matra
L’Espace Automobiles Matra à Romorantin propose une brillante présentation des voitures de compétition de la collection Matra ainsi que des prototypes et une salle moteurs sur un site de 3 000 m².
Profitez de votre séjour au Centre éthic étapes de Romorantin pour visiter ce site chargé d’histoire industrielle.
Visite libre ou guidée.
Pour plus d’informations, cliquez sur le site du musée Matra.
Musée de Sologne
Situé dans le centre de Romorantin-Lanthenay, capitale de la Sologne, le Musée de Sologne vous accueille dans un cadre patrimonial exceptionnel. Les trois bâtiments qui le composent, le moulin du Chapitre, le moulin de la ville et la Tour Jacquemart sont à cheval sur la Sauldre, rivière au rôle déterminant dans l’histoire de cette cité.
Ces moulins à eau sont le reflet des activités artisanales, puis industrielles, qui ont fait vivre les romorantinais pendant des siècles. Le musée de Sologne vous invite au voyage au travers de son exposition sur les coutumes Solognotes, les habits, les croyances, l’habitat, la chasse, les métiers d’autrefois, le patrimoine naturel.
Pour plus d’informations, cliquez sur le site du musée de Sologne.
Parcs et jardins
Découvrez Romorantin autrement : la Sologne se décline entre parcs et jardins.
L’Ile de la Motte et l’Ile des Poulies
Très ancienne, l’île de la Motte a subi de nombreuses transformations depuis la seconde moitié du XIXème siècle. Aujourd’hui parc de loisirs, elle est aménagée d’une aire de jeux, d’un mini-golf, de structures gonflables ainsi que d’une buvette en saison. Reliée par une passerelle, l’Ile des Poulies a conservé son charme naturel.
Le Square Ferdinand Buisson – Romorantin – Sologne – Val de Loire
Créé vers 1860, ce jardin public, square à l’anglaise riche en essences de végétaux, est très apprécié des habitants et des visiteurs. La présence d’arbres remarquables tels que le Ginkgo Biloba est révélatrice de la place de la botanique au XIXè siècle. Emile Martin (1810-1895), érudit romorantinais bibliophile et botaniste, a sans doute par ses conseils éclairés, participé à la création des parc d’origine. Sa collection de 600 livres de botanique, conservée au Musée de Sologne, est l’une des plus importantes de France. A découvrir également le Parcours Botanique.
Le Parc de l’Hôtel de Ville et la Pagode
Clin d’œil sur la Chine à travers le parc de l’hôtel de ville de Romorantin et la pagode dont l’originalité vous surprendra. Acheté à l’exposition universelle à la fin du XIXème siècle, ce monument qui servait originellement de château d’eau, est décoré d’un ensemble de panneaux peints sur le thème d’oiseaux aquatiques. Cette œuvre architecturale est inscrite aux Monuments Historiques. L’hôtel de ville, ancien hôtel particulier de la famille Normant, dynastie d’industriels drapiers, a été construit vers 1880. Il abrite depuis 1952 les services municipaux.
Le Parc de Beauvais et son Château
Un circuit à ne pas manquer pour les amoureux de grands espaces, 13 hectares de verdure à parcourir à pied ou à vélo.
Les micocouliers à Romorantin
En 1896, Jean-Baptiste Hureau planta dans la cour de son entreprise, rue du faubourg d’Orléans, un micocoulier que lui obtint un de ses clients, propriétaire en Sologne. Depuis, cet arbre, spontané dans le sud de la France sous le nom de Micocoulier de Provence, a élu domicile dans les rues et jardins de Romorantin. Présent dans la région, il y a 300 000 ans, le micocoulier a disparu lors de la dernière glaciation avant d’être réintroduit dans le sud, via les premiers échanges culturels dans le pourtour méditerranéen, il y a 4 000 ans.
1 000 ans plus tard, à une époque où le sucre n’existait pas, Homère vantait la douceur de ses fruits et le nommait « lotus » sans le distinguer d’autres espèces d’arbres et arbustes méditerranéens à petites drupes sucrées. Selon Pline, Rome le vénérait au 1er siècle de notre ère pour le culte de Diane. Alors pourquoi s’étonner de voir cet arbre associé à la déesse de la Chasse, s’établir en Sologne ?
Vous pouvez en découvrir, rue Jules Guesde, rue de la Barque, rue Pasteur, rue du Grenier à Sel, rue Lucien Dubech, boulevard Paul Boncourt, rue Normant, rue Maymac, rue du Docteur Roux, place de la Libération, dans le parc de la Bibliothèque, sur l’île de la Motte, le long du « Blanc Argent », en bord de Sauldre et, bien sûr, voir leur ramure dépassant de nombreux jardins privés…
Romorantin vit à l’ombre des micocouliers !